Les jeunes français ont un grand appétit de connaître la Chine, car la Chine, pour beaucoup d’entre eux, ça reste mystérieux. Et ils sont très agréablement surpris.
J’ai interprété les œuvres de Debussy, Fauré, Françaix, Ibert souvent sous la forme de concerts thématiques en Chine continentale, Hong Kong et Taiwan.
Les chercheurs, les plus brillants venus en France par la FFCSA sont les ambassadeurs rêvés en science de l’Environnement, de la Communication, en Urbanisme, en Géologie entre autres.
Voilà près de quatre décennies que je côtoie la Chine et les Chinois, ce qu’ils m’ont donné à voir est tout simplement prodigieux.
Quand j’ai redécollé de Roissy, après ma formation en France, je me suis dit : « I’ll be back ! »
Après toutes ces années passées en Chine, j’ai eu l’occasion de rencontrer, de travailler et d’échanger avec d’autres artisans, cela m’a beaucoup enrichit.
J’espère qu’un jour on pourra établir une plateforme d’échanges sportifs autour du badminton franco-chinois pour les amateurs.
J’ai intégré des concepts de la culture chinoise dans mes titres français, et des références françaises dans mes chansons chinoises.
Investir en France c’est s’assurer d’avoir un accès à 60 millions de consommateurs, à une structure industrielle à haute valeur ajoutée et à un réseau logistique développé.
Les Chinois sont des humains, pas des Martiens. Mais pour les comprendre, il faut les apprendre.