Je me rappelle d’avoir rêvé de devenir ambassadrice franco-chinoise quand j’étais à l’université. Après avoir chanté pour les ambassadeurs et les deux chefs d’État, j’étais satisfaite d’avoir pu accomplir ce rêve.
Pour moi la photographie et la Chine allaient ensemble, la Chine s’ouvrait et il fallait témoigner. Or la photo est un outil merveilleux pour le faire.
Possédant la culture chinoise ainsi qu’ayant fait des études dans ce domaine, cela me permet d’accompagner mes étudiants durant mes cours pour leur faire découvrir une partie des théories de la calligraphie chinoise.
Les échanges et les emprunts [entre les deux pays] ont été nombreux. Les méthodes se sont enrichies mutuellement et c’est bien le but de notre coopération de prolonger cet enrichissement mutuel.
J’ai interprété les œuvres de Debussy, Fauré, Françaix, Ibert souvent sous la forme de concerts thématiques en Chine continentale, Hong Kong et Taiwan.